Numéro trois acheté ce matin.
Je viens, à l’instant, de finir les cinq premières pages (en comptant la couv’ héhé) dont le reportage à Fourmies. Il est vraiment bien. L’enchainement des lieux, des personnes... Franchement, bravo JB. A plein de moments j’ai tiqué, les citations m’ont fait rebondir sur d’autres lectures : le « ghetto » comme cocon (même si je ne me rangerai pas aux côtés de Lapeyronnie), les fonds de pensions « sans figure », les villes mortes du 6-2 que je connais un peu : l’atmosphère est vraiment bien rendue. A chaque fois, on reste désarmé devant ce genre de paysage désolé.
Et cet édito (...)