Bah , seuls des abrutis de competition pouvaient croire que Soral etait un ennemi de l’empire et accessoirement du capitalisme. Cet article montre bien que l’ on a affaire a un epicier structure qui sait flatter un certain public dans le sens du poil en concentrant son tir sur un seul responsable de tous les maux : le chuif. Il poursuit la caricature en se transformant en un personnage d’« au bon beurre » qui refourgue de la vinasse et de la bouffe plus ou moins bio. Le confusionnisme de la maison d’edition lui permet de ratisser large en exploitant l’inculture politique de son public (...)