Mon commentaire me paraît trouver toute sa place en « réaction » à celui-ci. À l’adolescence, j’ai découvert un usage que j’ignorais du mot winner, au cours d’une visite chez une famille canadienne anglophone : le petit garçon (il devait avoir 8 ans et j’en avais 14), sans doute fort préoccupé comme cela arrive souvent à son âge, de comparaison de taille ou de forme, m’a demandé de lui montrer mon « winner ». Sur le moment, j’ai été assez étonné de cette appellation, avec l’âge (56 ans aujourd’hui), je comprends mieux. Cela illustre assez bien à quel niveau fonctionne ce magazine - celui de la pulsion - d’où le (...)