« participer à cette stratégie de la tension entre communautés en reprenant »la petite musique« du deux poids deux mesures, c’est toujours et forcément »parler la langue de l’ennemi« . Mais ça je ne sais pas si l’UJFP ou l’extrême gauche peut un jour, à nouveau, parvenir à le comprendre »
« petite musique » ? La puissante nuisance sonore des casseroles de cette fanfare hyper active qui parade sur les Parquets et fait danser et chanter les « procureures » sur un standard éculé !
« TOUJOURS et FORCÉMENT parler la langue de l’ennemi », quand est tentée la critique de la construction du mur du silence ?. (...)