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Mon Empire pour Doisneau et Prévert

mercredi 3 octobre 2012 à 17h22, par Lémi

En langage médical, on appelle ça une rechute. Le patient est stable, il est sur la bonne voie, et soudain, bing, il trébuche sur son obsession. Ici, c’est la vision fantasmée d’un Paris du passé qui fait un retour en force et provoque le déraillement. La faute à un petit livre récemment publié, « Robert Doisneau, comme un barbare... », d’un certain André Pozner. Je donnerais un bras pour une dérive parisienne avec Doisneau et Prévert. Cash. C’est pas du flan. Même, j’y joindrais volontiers d’autres gages (...)


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