Normalement, non : ce n’est pas normal (oui, la phrase est un peu pourrie...).
Mais le truc, en pratique, c’est que les points de vente sont libres de renvoyer les canards dont ils ne veulent pas à réception (puisqu’ils ne choisissent pas ce qu’ils reçoivent). Parce que le journal ne leur plaît pas. Ou parce qu’ils pensent qu’ils m’arriveront pas à le vendre.
Pour nous, c’est le pire des scénarios : le canard n’a même pas été mis en vente, mais renvoyé d’office ; et pourtant, les exemplaires ainsi renvoyés sont considérés comme des invendus, c’est-à-dire qu’ils alourdissent notre colonne débit dans la (...)