dimanche 5 décembre 2010 à 14h41, par un-e anonyme
@ZeroS
Je te remercie pour les références indiquées qui m’invitent à préciser mon propos initial. Il n’était pas de soutenir le point de vue selon lequel la réalité politique des quartiers populaires se résumerait dans l’opposition dominants/dominés (masse indifférenciée et manipulable à merci)mais bien plutôt de souligner l’existence d’une pratique clientéliste dont l’objectif pour les élus, en collaboration avec la police, est de disposer de relais au sein de polulations qu’ils entendent contrôler. Ces intermédiaires issus des « quartiers » ont un rôle ambigu. Ils se trouvent le plus souvent dans une (...)