dimanche 16 septembre 2012 à 20h21, par Augustin Marcadet
« Prendre le médecin en défaut », v’là la grande affaire, cher B. Y’en a effectivement qui décident de montrer les crocs, qui écrivent des lettres du style « Je vois pas comment le docteur Létrille m’a jugé apte au travail alors qu’il ne m’a même pas examiné et qu’il m’a tout juste gardé dix minutes dans son bureau ! » Ce genre de courrier n’émeut pas grand monde tout simplement parce que Létrille ne fait pas dans le détail mais dans l’abattage : le volume de son activité est commandé par tout un tas d’indicateurs contractualisés entre la caisse nationale et l’Etat, les dits indicateurs impliquant une sorte de (...)