Voici l’éternel argument des fanatiques d’Internet et des écrans qui aimeraient faire culpabiliser les « gros pollueurs » qui osent encore acheter des journaux papiers et leurs encres toxiques. Argument de prime abord séduisant mais qui ne résiste pas à un examen sérieux du bilan écologique de l’utilisation massive du Web et des ordinateurs. En dehors de tous les produits « toxiques » nécessaires à la construction des millions d’ordis dont le quidam change tous les deux ans, de toute la pollution qu’engendre (loin ! dans les pays pauvres) les déchets de cette obsolescence programmée, il faut dire et (...)