On est bien d’accord qu’aujourd’hui on valorise le travail par les grands mots à mesure qu’il se raréfie et déprécie en équivalents monétaires. Le travail reste cependant une nécessité. La société ne doit pas trop le mépriser non plus, car, nécessité faisant loi, on retomberait dans l’esclavagisme aussi sûr que 2 et 2 font 4.