Un épisode nauséabond supplémentaire parmi les écrivains mâles du polar hexagonal. Entre ceux qui se sont reconvertis à l’antifascisme – par souci de respectabilité ? – après avoir crié que l’antifascisme était le pire produit du fascisme, les paranoïaques des rapprochements rouge-brun qui se sont spécialisés dans la chasse aux sorcières (voir le détestable livre Négationnistes : les chiffonniers de l’histoire), et ceux qui fricotent avec les identitaires et autres fachos, on est bien parti ! Si sur ces questions là, la séparation entre les camps est nette, sur la question du sexisme et de la misogynie, c’est (...)