« je ne vais pas généraliser jusqu’à écrire que le genre humain est abruti... »
On est d’accord, bien entendu. Si j’aurais abandonné tout espoir de changer les choses, ce qui est encore loin d’être le cas.
En fait, c’est pour ça que j’ai adopté ce ton un peu particulier, cette ersatz de mise en scène personnelle dans le récit : je voulais bien montrer que certaines considérations tenaient aussi à un coup de mou, à un léger coup de déprime.
« Sans compter bien sûr tous les autres, nous autres, etc... On n’est pas si abruti que ça quand même n’est-ce pas ? ;) »
Heureusement, qu’on ne l’est pas. Haut les (...)