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Violente répression et violette régression : d’une manifestation l’autre

mardi 30 mars 2010 à 19h45, par Dominique

Bertrand avait exprès adhéré à une loge qui ne se tenait pas dans sa ville afin que cela reste discret : c’est un peu comme les couples partouzards qui ne fréquentent pas le club libertin de leur sous-préfecture, mais celui d’une autre sous-préfecture. C’était l’époque où il n’était encore que simple député et conseiller municipal, il ne fallait pas faire trop de vagues dans sa circonscription à ce moment-là. Depuis, il a fait son coming-out de porteur de tablier, parce que de toute manière il aurait été outé en cas de candidature à de plus hautes fonctions comme l’on dit. On sait ce qu’il en a coûté à (...)


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