Intéressant article. La conclusion s’avère évidemment décevante, au regard de la justesse de l’analyse.
Les classes dominées semblent dans l’impasse. La convergence rêvée des luttes ne sera pas pour demain, incapables qu’elles sont de concevoir la nécessité de se rassembler.
Un bémol cependant : je reste assez dubitatif quant à la pertinence du vocabulaire employé : qui est cette (néo)-petite bourgeoisie (intellectuelle) que M . Garnier appelle une fois « matière grise » ? qui sont ces « bobos » ?
Il est vrai que je récuse personnellement l’utilisation de termes tels que « bourgeoisie » et « prolétariat (...)