Ah ! Michel Butel ! J’avais lu un ou deux de ses romans pseudo-durassiens quand j’étais étudiant en lettres et j’avoue qu’il ne m’en reste aucun souvenir, pas même le titre. A l’époque, il fallait s’intéresser à ce genre de sous-littérature pour avoir un vernis de culture. C’est l’homme qui a réussi à couler les Nouvelles Littéraires (qui avaient quand même un demi-siècle d’existence avant lui) en les transformant en l’Autre Journal et qui aurait pu ruiner Pierre Bergé et Yves Saint-Laurent s’ils s’étaient obstinés à le subventionner encore. C’était le beau temps de la Génération Mitterrand et d’un côté un peu (...)