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Grandeur et décadence du préjugé littéraire

dimanche 23 janvier 2011 à 21h20, par Lémi

Perso, cette technique du titre choisi au feeling dans la bibliothèque familiale ne m’a pas toujours réussi. C’est comme ça que, aspirant ado, j’ai découvert Duras (« L’amant » semblait un titre prometteur pour le boutonneux libidineux que j’étais – publicité mensongère) et illico déserté pour un bail la voie/voix Marguerite. Par contre, ça a marché avec d’autres trucs, notamment quelques amours de jeunesse – Kessel, Zola et London. So : un hourra pour l’instinct juvénilo-littéraire. D’ailleurs, les préjugés viennent plus tard, quand l’enfant se carapate et que l’adulte se glisse à sa place... Il est toujours (...)


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