Une différence entre Minute & Co. et Charlie Hebdo, c’est que nous n’avons jamais rien attendu des premiers, tandis que les reniements de Charlie — avec chantage à la genèse estampillée « de gauche », « iconoclaste », « libertaire » — n’ont pas fini de nous consterner, encore moins de nous affecter (émotivement).
Bien sûr qu’on peut se moquer de tout, « mais pas avec n’importe qui », disait Desproges (c’est devenu une espèce de proverbe dont « le bon sens » se gargarise à mesure qu’il le mécomprend). Et pas n’importe comment. Alors oui, ça peut être une somptueuse rigolade — ici, par exemple1.
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