Oui et pour faire ralentir cet enfoiré de machiniste, il faut lui poser son sac de frijoles et de patisserie du Super-Chedraui de Cordoba, sur les petites marches de la locomotive en prenant le risque de se retourner le pouce.
Apparemment, il y en avait un plus sympa avant mais depuis un moment (j’y étais il y a un an) celui-ci a changé.
Il y a aussi un truc angoissant pour les patronas, c’est la peur du « faux » migrant profiteur, ou qui travaillerais pour le compte de maras à surveiller ou escroquer les « vrais » migrants. Cette distinction un blanc/noir, efface les subtilités des situations, (...)