Le plus frappant dans ce pitoyable commentaire n’est pas tant le vide politique, stratégique et idéologique, qui le caractérise, et qu’il prétend en plus dénoncer dans l’article, que l’insensibilité ostentatoire qu’il étale face à un article qui, au contraire, assume les limites d’un geste qu’il s’efforce de penser, d’expliquer, de décrire comme « un besoin », « une pulsion », un temps politique en négatif qu’il n’érige en rien en doctrine. Un article écrit avec le cerveau autant qu’avec les tripes. Mais ça, Eric Chamel, ça le dépasse. Oui, il y a beaucoup d’impuissance entre les lignes. C’est notre impuissance à (...)