Les associations qui se penchent sur ces questions devraient être capables de sortir de l’unique import-(ré)appropriation appauvri des méthodes du management d’entreprise et de faire valoir d’autres approches méthodologiques, plus fines et adaptées aux réalités complexes des expériences associatives.
Pour continuer à filer la métaphore sur les AMAP, la deep ecology, tout ça... Y’a une « source » de méthodes qui me semble intéressante à exploiter pour assos autogérées et dynamiques, c’est les concepts de la permaculture. Pour faire simple, la permaculture est une forme d’agriculture bio qui cherche à composer (...)