Alors ça y est... vous allez baisser pavillon...
Je vous lis depuis le numéro 1, et depuis je ne vous ai plus lâchés, jusqu’à m’abonner.
Tristesse de voir votre journal papier va s’arrêter, et d’autres avant vous se sont retrouvés comme vous obliger de cesser de paraître. Comme par exemple : « A contre courant syndical et social » un journal qui existait pourtant depuis plus de 20 ans.
Bravo à toute votre équipe pour toutes ces années en votre compagnie !! C’était un rendez-vous que je ne manquais pas, et qui me réjouissait.
Merci à vous tous et toutes !!
P.S. : Et bien sûr, à vendredi soir, au Bon (...)