Des niaiseries, les paroles de « Summertime » ! Je ne suis pas d’accord. Si l’on considère , avant d’analyser la valeur littéraire du texte, le narrateur supposé, alors ce poème devient un pur chef d’œuvre. Quand je l’écoute, j’entends la berceuse qu’une esclave raconte à celui qui dans quelques prendra la relève de son père esclavagiste, et mes poils se dressent, l’émotion m’assaille. Bref, je ne vois rien de niais dans tous cela... La traite des noirs mon cul, oui (...)