putain, moi qui croyais être enfin tranquille... NB : si vous voulez vraiment continuer, il faudra abandonner l’esthétique post-punk et post-Valstar du rosé de mauvaise qualité et vous mettre aux vins naturels. voyez l’increvable Siné (quoi qu’on pense des bêtises qu’il raconte par ailleurs au milieu de ses bienvenues imprécations) : s’il tient encore -avec des tuyaux dans le nez, presque toujours et dans le cul, de temps en temps - c’est grâce aux vins de chez (...)