vendredi 28 février 2014 à 12h11, par Charles Reeve
Le courage et la ténacité des gens qui ont tenu les barricades de Maïdan, jusqu’à l’emporter, ne laissent pas d’impressionner. Et ils donnent très envie de croire qu’un vent de liberté s’est levé, porteur de vraies promesses de transformation sociale. C’est là que le bat blesse, explique l’ami Charles Reeve : derrière le soulèvement, la réaction.
Les événements ukrainiens, l’occupation de la place de Kiev et le massacre qui a abouti à l’éviction de Yanoukovitch et de son gang n’ont pas été faciles à suivre (...)