Au fond, cessez un peu de jouer, tous. A crier à la « censure », à la « hargne terroriste », et autres, avant de rétorquer qu’il n’y aucun argument concret dans les critiques.
On vous en fournit : vous ignorez superbement. Ainsi, après avoir exposé, ailleurs dans cette page, quelques extraits des vomissures de PMO, on continue de trouver une « bonne raison de lire Escudero » en continuant de fouiller chez eux. Vous avez eu le droit à des liens, des analyses, des résumés, des citations : rien n’y fait. D’aucunEs (les censeurEs en herbe), avertissent sur tous les tons de la fange dans laquelle ces textes (...)