Je ne sais si le dernier Rey est aussi mollasson que son Maître, ainsi que vous l’écrivez, mais il vous a manifestement inspiré. Merci pour ce texte limpide, bourré d’humour et qui me semble cerner au mieux la personnalité de ces petits égocentriques parisiens. Ceci dit, il n’y a pas de quoi fouetter un Rey, quand même, avec ses attitudes de vrai faux romantique rebelle. Les « vrais » du XIXe étaient, eux aussi, de gentils foutriquets qui se poussaient du coude pour que la photo - de Nadar - soit bonne. Un avantage de la descente - non pas aux Enfers - mais à la cave de Nicolas Rey ? Il ne sévit plus (...)