Ah oui, mais les « vrais » du 19e n’avaient pas la possibilité d’aller parader sur petit écran, voilà pourquoi ils resteront supérieurs à leurs pâlichonnes reproductions (ceci dit, j’exclus le sieur Rey du choeur des vrais malfaisants cathodiques : outre qu’il a désormais disparu des écrans - si j’ai bien compris -, il semble n’avoir jamais été bon dans ce rôle. Dans ce cadre, je préfère un mauvais acteur perdu qu’un bon acteur satisfait...)
Et pour le ricanement sur le prix du bouquin tout blanc de vide typographique, je tiens quand même à préciser que d’habitude j’aime bien le Diable Vauvert (un éditeur qui (...)