La guerre à la papa était simple : on mettait deux armées face à face et on voyait qui s’étripait le plus allégrement. Le bon temps. Aujourd’hui, les stratèges doivent rivaliser d’ingéniosité pour concevoir leurs actions, notamment en territoire urbain. A ce petit jeu, c’est Tsahal qui a une longueur d’avance. Ce que montre Eyal Weizman dans un livre publié par La Fabrique : A travers les murs.
Mise en bouche mentale : Imagine une salle dans laquelle serait réuni l’état-major d’une armée contemporaine, (...)