mercredi 8 décembre 2010 à 01h24, par pièce détachée
J’ai bien du mal à revenir à Negri depuis que, dans le Diplo de juin 2004, il s’avisa d’inclure, dans son compte rendu de la fiesta organisée pour le cinquantenaire de ce journal, l’expression — exaltante sous sa plume — « rafales de femmes », et l’on n’en sut pas plus. Qu’on ne se méprenne pas : à la place de « femmes » on peut mettre ce qu’on voudra, ça n’y changera rien : le style crème au beurre, c’est la mort en rafale.