J’ai trouvé cette intervention intéressante, seulement J. P Garnier ne semble pas ici proposer de solution pratique à une révolution urbaine. C’est d’ailleurs justement ce qu’il reproche à certains chercheurs de la critique radicale. Son constat est valide et il présente très bien l’époque, le monde universitaire, les écoles de pensées mais manque par trop de concret, de solutions (choses qui ne vont pas forcément de soi, j’en conviens). C’est peut être la limite de ce (...)