A la règle posée par Eolas « un fait divers, une loi », il faut ajouter celle-ci « une élection, un fait-divers bien sanglant et bien monté en épingle ». C’est un rituel de la droite que de sortir des images d’insécurité à l’approche des élections, TF1 les relaye amplement alors. Il ne manquerait plus qu’un bon gros Bowling for Columbine dans un lycée géré par un président de région de gauche : Estrosi reviendrait avec ses portiques, ses caméras, Jégo accuserait Internet parce que le coupable a publié ses intentions dans un Skyblog ou sur Facebook, Lefebvre aboierait des centaines de communiqués à transformer en (...)