Dès qu’il y a once de d’organisation, il y a cheffaillerie pour canaliser les ardeurs.
Et quand il n’y a pas once d’organisation, il n’y a effectivement pas de risque de cheffaillerie vu qu’il n’y a rien qui se produit ou se construit.
Lui est par exemple profondément convaincu qu’il ne saurait y avoir de réelle remise en cause du libéralisme sans reconstruction préalable des syndicats et partis de gauche.
Moi aussi j’ai du mal à voir comment la domination du capitalisme ( je suppose que tu parlais de capitalisme ?) pourra être remise en cause sans cela, parce que pour lutter contre les (...)