Pour le peuple, je te l’accorde : c’est vague et large. Je ne prétendais d’ailleurs pas être trop précis, sur ce point.
Mais je crois qu’il ne faut pas hésiter, quelquefois, à se référer à une notion si globalisante. Quand je dis « peuple », je ne pense pas aux seuls prolétaires, mais à tout ceux qui peuvent - à la base - oeuvrer au changement que nous espérons : prolétaires, précaires, révoltés, militants (sans leurs petits chefs et leur raisonnement de parti), gens investis dans les luttes et ceux qui ne le sont pas. Pour moi, cette notion de peuple renvoie, par exemple, à quelques moments privilégiés des (...)