Le programme du CNR n’est pas un commencement mais bien plutôt une fin.
Il s’inscrit dans les constructions des welfare states. L’Etat nous accompagne du « berceau à la tombe ». Comme de l’autre côté de la Manche, où les travaillistes comme Attlee ont suivi les orientations du rapport Beveridge (sécu, nationalisations, etc...) qui s’est lui-même inspiré de Keynes. Mais on retrouve les ferments de cet Etat interventionniste chez Bismarck... On en retrouve aussi chez les Anglais, avec la loi sur l’éducation de 1870.
En ce sens, il devient difficile d’inscrire pleinement le programme du CNR dans l’histoire (...)