A propos du temps qui presse, et des Guerres qui éclates.
*C’est une surprise un peu dégueulasse qui te saisit -glacé tout à coup tu ne sens plus rien- -Toi, tendre bouille tu pousses un cris- -un géant néant, immesurable, qui vient-
Le sioux poussif en ton fort intérieur -crois tu vraiment qu’il pleure- -Glacé tout à coup tu ne sens plus rien- -ni l’odeur autour, ni le tremblement des mains-
Ils t’on eu à force -pas de grandes idées- -Pour ces autours- -qui planent tout autour- -rapaces aiguisés qui te privent des détours-
Ceux des imaginables joies d’une autre pensée -tu n’était pas (...)