dimanche 9 juin 2013 à 18h32, par Martin Scriblerus
« L’occasion parfaite de revenir sur une lutte trop souvent incomprise ou caricaturée », osez-vous écrire.
Il se trouve que les féministes radicales affirment, arguments à l’appui, que la prostitution n’est ni du travail, ni du sexe, mais d’abord et essentiellement une manifestation des rapports de domination des hommes sur les femmes, et un élément essentiel au renforcement et à la perpétuation de ces rapports.
Fort heureusement, ni le Strass, ni ceux qui lui donnent complaisamment la parole – que ce soit l’extrême gauche façon « Libération » ou le réformisme façon « Article 11 » ne se laisseraient (...)