Rapport à ce que la traduction est plus ou moins what I do dans la vie : alors nous sommes deux. Sauf que moi je n’ai pas la brit’ side et que, sorti de l’écrit, je suis une truffe absolu dans la langue que je traduis, l’anglais. Je tente de ne pas trop l’ébruiter, que les éditeurs ne prennent pas peur...