mercredi 10 novembre 2010 à 02h51, par A.S.Kerbadou
D’abord, vous interpellez mon cul, alors que vous ne lui avez jamais été présenté.
Ensuite, vous vous en prenez à mon petit doigt, alors que vous n’avez aucune idée de ce que mes doigts laborieux sont capables de faire, sous le seul contrôle de ma cervelle (un capital), grâce à beaucoup de créativité (un capital), d’ingéniosité et de savoirs dûment acquis (un capital), pour ne pas finir ressource humaine avariée évacuée par le système d’esclavage consenti ; au bonheur du couple Capital-Travail.
Capital et Travail-contre-salaire sont indissociables et je ne vénère ni l’un, ni l’autre. Les deux ont la même (...)