Jean-Nouvel, comme nombre de ses confères de la même génération soixante-huitarde (Christian de Portzamparc, Antoine Grumbach, Roland Castro…) qui avaient mis l’École des Beaux-Arts en ébullition à la belle époque de la « contestation », allant jusqu’à frayer avec nos maoïstes hexagonaux pour « construire avec le peuple », fait maintenant partie de ces « starchitectes » vassalisés dont la renommée est allée de pair avec leur servilité à l’égard des pouvoirs en place, qu’ils soient publics ou privés. Mais il n’y a pas là de quoi s’étonner. Si l’on pressait ces « archistars » de rendre des comptes sur ce qu’ils ont (...)