@ 22:08 :
Ce texte a une double perspective : sardonique et critique. Provocation donc, mais pas totalement fortuite.
Dans le cadre de Chemin(s) d’eau, quelques artistes ont soumis leurs œuvres aux passants - dans leur grande diversité. C’est bien la moindre des choses que d’attendre des retours ! Une réaction, même critique, atteste au moins qu’un des objectifs est atteint : celui de ne pas être totalement ignoré. Rien n’est pire, peut-être, que l’apathie. Le plus grand des mépris aurait été de ne rien écrire.
Quant aux affres de l’interprétation, je citais J. Rancière parce que dans sa réflexion, il (...)