Quand même, je reviens sur un point suite à cette réponse et à la lecture de l’article d’Olivier Favier.
Souvent, les approches postcoloniales s’attachent à souligner un héritage colonial refoulé et qui marquerait un inconscient collectif (l’expression est d’ailleurs employée dans l’article). Dans le cas de ce mausolée, d’après ce que j’en lis, j’ai l’impression que nous sommes face à un choix politique qui n’a rien du refoulé. Il semble qu’il ait fallu rester discret (ça reste encore inconvenant d’être fasciste), mais que l’air du temps permet quand même de prendre de nombreuses libertés.
En fait, plus que (...)