Comment ça, si c’est vrai tout ça ? Mais cornegidouille, traite-moi de romancier tant que t’y es ! D’ailleurs s’il y a des éditeurs dans la salle... J’ai pas lu le bouquin de Linhart, ma bible restant le roman de Meckert, L’homme au marteau (1943) dont le personnage principal, un certain Augustin Marcadet (mon grand-père ?), obscur petit employé aux contributions, pète un câble et envoie bouler la Conardot, sa supérieur hiérarchique par un outrageant : « vous me puez au nez ! », avant de se perdre dans une errance urbaine sans issue. A. (...)