Pour être un petit peu honnête, il faudrait préciser qu’André Gérin est désavoué par l’ensemble de ses collègues communistes à l’Assemblée nationale (même s’ils se sont prononcés dans un premier temps pour une commission d’enquête dont on a vu qu’elle n’était qu’un leurre pour passer en force par la loi et bientôt par le référendum). Je ne veux pas trop accabler le parti communiste, il est pris entre des ultra-orthodoxes comme lui dont on se demande s’il est plus dans le sillage d’un Doriot ou d’un Thorez, et puis des rénovateurs aux noms changeants qui filent dans tous les coins socialistes, écologistes, parti de (...)