dimanche 12 décembre 2010 à 08h30, par Alexandre d’Arpire
Retort, connaissais pas ! Merci pour commencer au travail de (redirection de) Rezo.net sans lequel je n’aurais pas eu vent de l’Article 11 ce dimance matin.
Le coeur de l’article, selon moi, celui en tout cas qui m’a dilaté, parce que je le sens comme ça et que ça fait toujours plaisir de se sentir plusieurs à ressentir la même brûlure du réel, se trouve dans le paragraphe suivant : « La terreur est l’oxygène de l’État. Les jalons essentiels du terrorisme moderne ont été posés par des bombardements aériens, cette menace de mort massive pointée sur les civils comme une épée de Damoclès – de Guernica à Gaza. (...)