vendredi 11 février 2011 à 23h07, par Serge Quadruppani
En Vénétie - et plus généralement en Italie -, c’est un large front qui se lève, réunissant syndicalistes de la FIOM, ennemis de la Ligue du Nord, métallurgistes, intellectuels et activistes divers. Tous unis pour combattre la régression sociale en cours dans deux usines de la Fiat, nouveau contrat collectif imposé aux salariés sous menace de fermeture. Une résistance qui en évoque d’autres.
« Aujourd’hui comme hier, je dis que si je dois mourir, ce sera en enfonçant mes doigts dans les yeux de l’ennemi » (...)