Clair que ce n’est pas forcément évident de sortir un peu de thunes pour acheter un ou plusieurs journaux - même quand il ne coûte que deux euros. Si t’es ric-rac ou à sec, la presse, alternative ou non, devient clairement un luxe - enfin, perso, je ne la rangerais sûrement pas dans les produits de première nécessité.
Pour le gros trimestriel regroupant tout le monde, c’est une idée qui ressort de temps en temps. Et dans l’absolu, elle a tout de la bonne idée - pour la « puissance de frappe », les économies induites, la conjugaison des énergies, des motivations diverses et des talents. Mais il y a quand (...)