Bonne question, en effet. J’avais mis un commentaire plus bas où je l’évoquais. D’un côté, une majorité de gens qui se cantonnent dans le cadre institutionnel de la manif, et de l’autre une minorité de gens prêts à la violence. Que les premiers ressentent de l’empathie ou de l’hostilité envers les seconds, cela ne change rien au fait que la violence est assumée -de façon désordonnée et chaotique, c’est un fait- par quelques centaines de personnes seulement. Or, la question de la violence se pose inévitablement -ou du moins devrait se poser- dans une lutte de ce type. Parce que c’est bien en finale toute la (...)