chère soeur Sourire, prenez la peine de lire les commentaires avant de vous lancer tête baissée sur le chiffon rouge. Je n’ai rien écrit qui puisse justifier cet emportement. Simplement, j’essaye de réfléchir, de ne pas me précipiter, radieux, dès qu’une bagnole brûle ou qu’une vitrine de magasin est descendue, en me disant que ça y est, ce sont les premiers frémissements de la révolution. Toute violence n’est pas grosse de transformation sociale, et tout ce qui vient des exploités n’est pas forcément admirable. Il y a aussi des mouvements collectifs de prolos racistes, réacs et (...)