Ah, Lémi, les risques de la subjectivité..... ! Gould ? Tant pis pour les flammes dans les yeux... Mais pourquoi dire ainsi du mal d’Horowitz, de Rubinstein ou de Samson François ? Ce dernier est mauvais dans Bach, très mauvais, même, c’est vrai. En revanche, dans Chopin et dans la musique française.... et puis il picolait, il adorait le jazz et allait faire le boeuf la nuit, très tard, dans les boîtes de Saint-Germain. Un écorché mélancolique et rigolard à la fois, un artiste qui vient réveiller la musique qui dort en nous. Et puis, dans Bach, Martha Argerich, là : (...)