Mmmmh...
Si en politique, ou dans certains « arts », les médias peuvent effectivement fabriquer des baudruches, gonflées à l’épate et à l’esbroufe, dans la musique classique, c’est nettement moins évident.
D’abord la formation, les conservatoires, puis les sup. de Paris ou Lyon, les épreuves, les jurys, les concours internationaux... et surtout le travail, intensif….une quiche totale passe pas la barrière ; si BHL était pianiste il aurait pas été bien loin.
Mais pour avoir fréquenté ce milieu de très près je connais aussi la débine qui se passe là-dedans, les rivalités et dénigrements systématiques d’un (...)